ECOTRAIL PARIS.
Compte rendu de l’EcoTrail Paris (16 mars 2019, 80 kilomètres). 14 mars : je quitte le travail, direction la Porte de Versailles pour chercher mon dossard et acheter 2 - 3 produits. L’excellente Virginie (ma binôme SquadRunner) me rejoint, cool de discuter avec elle quelques minutes. Je croise également Xavier, avec qui je vais faire le chemin du retour. Toujours un plaisir d’échanger avec ces runners / traileurs. J’arrive chez moi et je prépare déjà mes affaires pour samedi. 16 mars : je me lève tôt, douche et petit déjeuner habituel avant une grosse course (lait de soja, café et Gatosport). Direction Saint Quentin en Yvelines (un long trajet) : RER + métro + Transilien + navette... J’arrive à destination, j’intercepte par hasard Casquette verte (le petit ami de Nadia) aux consignes. Un super mec, toujours disponible. A l’inverse de moi : il va cartonner aujourd’hui comme Virginie d’ailleurs. Je m’installe (dans ma bulle) sur la ligne de départ. Je ne vais (une fois de +) pas croiser Sissi Cussot. Tristesse et complot... 12 h 15 : départ. Je pars bien mais un peu gêné par mes gourdes mal positionnées qui me fatiguent le cerveau pendant au moins 2 kilomètres. Problème résolu par la suite mais je ne partirai pas avec ce sac lors de ma grosse aventure à Vannes (fin juin). Pas de boue mais il fait lourd. Vous connaissez mon amour pour la chaleur. L’ami Ali me salue au 3ème kilomètre. Je me sens rouillé et peu à l’aise malgré l’absence de boue. J’arrive à Buc (22ème kilomètre) sans réelles difficultés où je ne traîne pas trop pour me ravitailler. La suite ressemblera à un vieux remake de l’édition précédente. Pas retardé par la boue mais incapable de relancer après une grosse montée. A travailler... Le temps s’écoule, j’enrage et je me prends les barrières horaires pour 4 minutes au 46ème kilomètre. La déception est réelle et mon cerveau chauffe... Une navette ramène les loosers à Paris et à proximité de l’arrivée où je croise des finishers. C’est terrible moralement... Exceptionnellement, j’en profite du dîner d’après course pour bien récupérer après m’être changé. Je croise 2 potos : Jérôme aka FireRasta et Marion (la future star de la discipline). Toujours un mot pour consoler. Je rentre chez moi énervé, ma prochaine compétition va prendre toute ma frustration. A suivre... Bilan du jour : 7:15:00.Arrêté au 46ème kilomètre.allure moyenne : 9:21 min/km.vitesse moyenne : 6,4 km/h.Si vous avez aimé cet article, vous aimerez surement ceux-ci :